Après avoir quitté ses fonctions de ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon partage son temps entre le parlement européen et Neuchâtel, en Suisse. En tant que député européen, il a pour mission de travailler sur un rapport sur la situation du Proche-Orient. Professeur, il mène des activités de recherche et d’enseignement sur l’histoire de la démocratie ; tous les 15 jours il anime un séminaire sur les « républicanismes ».
Dans un entretien accordé mi-décembre à Paris-Match, Vincent Peillon reconnaît « des maladresses » et un manque de communication. « C’est une faute politique ».
A lire : l’article de Paris-Match