Admission post-bac – saisie des vœux dès le 20 janvier
Jan 19
Les 800.000 élèves de terminale vont devoir formuler leurs vœux s’ils désirent commencer des études supérieures. A partir du 20 janvier et jusqu’au 20 mars 18 heures, ils vont devoir se connecter à la plateforme APB (admission post bac) pour choisir parmi plus de 11.000 formations
Cela fait maintenant 7 ans que cette procédure fonctionne ; elle est ouverte à toutes les filières, bac généraux, techniques ou professionnels. Quelques établissements restent toutefois en dehors du système, tels Sciences Po, les formations pour devenir infirmier…
Quelques nouveautés en 2016
Le nombre de vœux est limité à 24, au lieu de 36 les années précédentes. Parmi ces 24 vœux, 12 doivent faire partie d’une grande famille de formation (BTS, école, d’ingénieur, école d’architecture…)
Pour l’inscription en droit, première année de médecine (PACES), psychologie ou sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS), quatre orientations très demandées, le postulant effectuera un « vœu groupé » et devra classer par ordre de préférence toutes les facultés de son académie.
Si le candidat est bachelier général (Bac S, ES, L), il doit obligatoirement formuler au moins un vœu sur une licence « libre » de son académie et qui d’habitude a une capacité d’accueil suffisante pour accueillir tous les candidats (identifiée sur le site par une pastille verte).
Pour les candidats bacheliers généraux n’ayant pas de formation de licence sur leur territoire (candidats scolarisés à l’étranger ou dans certains territoires d’outre-mer), ils doivent obligatoirement formuler au moins un vœu de licence « libre » quel que soit le lieu de formation.
Le calendrier
Les inscriptions se déroulant du 20 janvier au 20 mars, les candidats auront ensuite la possibilité de hiérarchiser leurs vœux jusqu’au 31 mai. La première phase d’admission se déroulera du 8 au 12 juin. Ensuite du 24 juin au 9 septembre, se déroulera la procédure complémentaire pour ceux qui n’auraient pas obtenu satisfaction.
L’objectif avoué est de réduire le nombre de postulants dits en « déshérence », à savoir sans affectation à l’issue de la procédure complémentaire, qui s’achèvera mi-septembre.
