Vers une fin programmée de l’organisation des rythmes scolaires et la suppression de plusieurs milliers d’emplois
Un système qui a un coût
Les petites communes avaient des difficultés à mettre en place des activités périscolaires, faute de moyens financiers et humains. Souvent cela se limitait à de la garderie. Si les aides de l’Etat diminuent encore, ce sera intenable, car cela représente de 50 à 70% restant à charge des collectivités, soit 230 euros par enfant et par an.
Pour le sénateur LR de Haute-Savoie, Jean-Claude Carle « il est impératif